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Comment voir les éléphants de manière éthique en Thaïlande?

07/10/2024 Par Odasie

Une peau d’un gris profond, des rides témoins d’une sagesse certaine et des pattes robustes qui leur donnent une assurance tranquille. Par cette description, l’éléphant n’a rien de commun avec nos animaux européens, et c’est pourquoi de nombreux voyageurs et aventuriers rêvent de pouvoir le rencontrer.

Bien que considéré comme un animal sacré, le tourisme a grandement affecté l’existence des éléphants. Cambodge, Vietnam ou Thaïlande, de nombreux pays d’Asie du Sud-Est sont touchés. L’espèce asiatique est 8 fois moins nombreuse que son cousin africain, mais rassurez-vous et gardons espoir car une prise de conscience nationale opère en Thaïlande. Le nombre d’éléphants augmente depuis quelques années, et il est de notre devoir de voyageurs d’encourager ce progrès en adoptant des pratiques de tourisme responsable.

Vue drone d'une plage en Thaïlande

Si lors de votre voyage en Thaïlande, vous souhaitez profiter d’un moment en famille pour faire découvrir cet animal emblématique à vos enfants, notre article vous guidera vers les camps à favoriser pour une rencontre optimale. 

  • L’histoire de l’éléphant d’Asie,
  • où et comment observer des éléphants en Thaïlande,
  • protéger les éléphants : enjeux et actions clés.

L’histoire de l’éléphant d’Asie

La Thaïlande abrite de nombreuses espèces d'animaux, comme des geckos, des gibbons ou encore des tortues, mais son animal emblématique est un peu plus imposant. L’éléphant d’Asie est reconnu depuis des millénaires pour sa force et son intelligence. Avant de le rencontrer, apprenez-en un peu plus sur son histoire.

  • Les origines de l’éléphant d’Asie,
  • une domestication humaine, 
  • une baisse de sa population.

Les origines de l’éléphant d’Asie

L’apparition des éléphants en Asie s’est effectuée sur plusieurs milliers d’années. Comme les êtres humains, les ancêtres des pachydermes modernes proviennent du continent africain. C’est le cas des mammouths et des mastodontes. 

C’est il y a plus de 3 millions d’années que les premiers “éléphants” ont migré d’Afrique pour rejoindre le Moyen Orient, avant d’atteindre l’Asie. Ce déplacement a été facilité par des conditions géologiques favorables. 

Leur nouvel environnement sauvage, appuyé par un climat bien différent et plus humide, ont causé des transformations dans leur physique. L’éléphant d’Asie est bien plus petit que celui d’Afrique, il mesure environ 3 mètres de hauteur et pèse jusqu’à 5 tonnes. Ses oreilles sont également plus petites et son dos plus arrondi. Leur dernière différence majeure sont les défenses, qui ne sont visibles que chez les mâles asiatiques, alors que mâles et femelles possèdent ces jolis ivoires en Afrique. 

Une domestication humaine

Les premières traces de domestication humaine sur les éléphants remontent à presque 4 000 ans, lorsqu’ils furent utilisés pour le transport, l’agriculture ou encore la guerre. C’est ainsi que cette espèce a perdu son état sauvage, pour se retrouver sous l’emprise de l’homme. 

Un fermier avec deux éléphants, à Chiang Mai en Thaïlande

Depuis longtemps, les éléphants sont une partie importante de la culture en Asie du Sud-Est. Les traditions de guerre de certains pays asiatiques, telles que la Thaïlande ou l’Inde, incitent différentes tribus à décorer les éléphants issus de l'armée lors de cérémonies royales. D’un point de vue culturel, il a également une place importante dans la religion bouddhiste. Ce grand pachyderme est même reconnu comme l’animal national de la Thaïlande. 

Malheureusement depuis plus récemment, et avec le développement du tourisme, l’homme a découvert une nouvelle utilité aux éléphants : une attraction pour des voyageurs en recherche d’exotisme. En Thaïlande, ainsi que dans d’autres pays d’Asie du Sud-Est, on a observé un fort développement des balades à dos d’éléphants. Il est même parfois possible d’assister à différents spectacles où l’animal va peindre sur une toile ou encore jouer au foot. 

Ces gestes et efforts ne sont pas naturels pour eux. Ils impliquent des méthodes cruelles de dressage, durant lesquelles l’animal va subir des conditions de vie stressantes et totalement inadaptées. Leurs journées sont remplies d'entraînements rigoureux, souvent accompagnés de soins et repos insuffisants. L’objectif à atteindre n’est plus le bien-être de l’animal, mais bien la performance

Si l’éléphant obéit, c’est à cause du travail de soumission qui est appliqué dès son plus jeune âge et consistant à le briser. C’est ce qu’on appelle le Phajaan. Il est d’abord séparé de sa mère, puis attaché dans une cage où il ne peut pas bouger. Il sera ensuite torturé pendant de nombreux jours. Une fois la peur de l’homme gravée dans son esprit, l’éléphant modifie son comportement de puissant à docile. Il obéit à tout, pour éviter de revivre cette expérience traumatisante.

Une baisse de sa population

Bien qu'aujourd'hui estimé à 7 000 individus, et en légère progression, la population d’éléphants en Thaïlande atteignait les 100 000 il y a 100 ans. Cette diminution drastique est bien triste, mais a ses raisons. 

Depuis l’industrialisation du pays, cet animal avant indispensable pour les travaux est maintenant remplacé par les machines. Cela a considérablement réduit son nombre d’individus en captivité. La déforestation massive limite aussi de plus en plus son habitat naturel, contribuant ainsi à la forte baisse de la population d’éléphants en Thaïlande.

Où et comment observer des éléphants en Thaïlande

Comment observer ces jolis pachydermes dans des conditions respectueuses, c’est souvent la question que l’on se pose. Lors de votre voyage en Thaïlande, deux options s’offrent à vous. Les sanctuaires éthiques qui recueillent les éléphants anciennement maltraités vous permettront de les observer, en semi-captivité certes, mais dans un respect et une bienveillance certaine. Sinon, vous pourrez espérer les observer à l’état sauvage dans quelques parcs nationaux

  • Les sanctuaires éthiques, 
  • les parcs nationaux.

Les sanctuaires éthiques

Les différents centres de soin et sanctuaires d’éléphants en Thaïlande accueillent les pachydermes maltraités, victimes du tourisme de masse. Ils leur offrent un environnement naturel, proche de leur habitat sauvage, en les laissant la plupart du temps en semi-captivité. Ils prennent soin d’eux, soignent leur blessure et leur donnent à manger, grâce à de nombreux bénévoles notamment.  

Avec une prise de conscience générale ces dernières années sur les conditions de vie des éléphants exploités, nombreux sont les centres qui ont adapté leur offre aux touristes. Attention, il est tout de même crucial de rester vigilant sur la réelle bienveillance d’un refuge. Certains lieux se présentent comme des sanctuaires, mais ne respectent en réalité pas les normes éthiques. 

Si vous souhaitez visiter un refuge qui a pour principal intérêt le bien être animal, voici nos 4 recommandations des meilleurs sanctuaires du pays : 

  • Elephant Nature Park, Chiang Mai, 
  • Elephant Haven, Kanchanaburi, 
  • Phang Nga Elephant Park, 
  • Following Giants, Koh Lanta.

Elephant Nature Park, Chiang Mai

Il y a un peu plus de 25 ans, Saengduean Lek Chailert a créé Elephant Nature Park avec l’objectif d’offrir un refuge permanent aux éléphants blessés et maltraités. Cette femme a développé une passion pour les pachydermes lorsque son grand-père s’est vu offrir un éléphant, dont ils ont pris soin ensemble lors de son enfance. Après avoir été témoin de la maltraitance qu’ils subissent dans le secteur du tourisme, elle a développé son projet : la création d’un refuge pour les accueillir. 

Elephant Nature Park, Chiang Mai, Thaïlande

© Elephant Nature Park

Ce sanctuaire, localisé au nord du pays à Chiang Mai, est aujourd’hui l’un des plus réputés d’Asie. Il abrite plus de 100 éléphants, qui habitent dans un environnement naturel, au plus proche de l’état sauvage. Ils sont soignés, physiquement et mentalement. Accompagnés de leur camarade, ils réapprennent à vivre ensemble et s’épanouissent de leur nouvelle vie.

Lek ne s’est pas arrêtée là, puisqu’elle a également construit la Save Elephant Foundation, qui vise à éduquer les propriétaires d'éléphants vers la compassion et le respect. Son travail est reconnu dans le monde entier. Des médias internationaux, comme CNN ou National Geographic, mettent même en lumière ses mérites et encouragent les voyageurs à visiter ce centre de sauvegarde et de protection.

Vous pouvez vous rendre au Elephant Nature Park en tant que visiteur ou même en tant que bénévole. Rencontrez les pachydermes, apprenez leur histoire et baladez vous à leur côté. Pas d’inquiétude, toutes les activités proposées sont pensées pour le bien-être animal. Comptez environ 65 euros par adulte pour une demi-journée.

Elephant Haven, Kanchanaburi

Grâce au soutien de Lek, ce centre a opéré une transformation remarquable dans la protection des éléphants. Anciennement connu sous le nom de Saiyok Elephant Park, cet établissement offrait des balades sur le dos des éléphants jusqu’en 2015. En partenariat avec la fondation Save Elephant, le parc a été entièrement réaménagé pour devenir un sanctuaire dédié au bien-être animal.

Leur histoire est visible dans le film immanquable “Love & Bananas”, qui montre le combat quotidien de Lek et l’incroyable transformation d’Elephant Heaven. On peut notamment y voir leur participation au programme “Saddle Off”, qui consiste à supprimer les montures des éléphants.

Aujourd’hui, 7 géants d’Asie constituent un troupeau libre de se balader, de socialiser et de se baigner dans la rivière Kwai quand ils le souhaitent. En tant que visiteur, vous pourrez vous y rendre à la demi-journée pour 40 euros environ. Profitez-en pour les observer évoluer dans la jungle sauvage du parc national de Sai Yok, tout près de Kanchanaburi.

Phang Nga Elephant Park 

Ce petit village familial s’occupe d’éléphants depuis 150 ans. Ils possèdent un peu moins de 10 pachydermes, dont ils prennent le plus grand soin, dans un environnement naturel et sans stress. Ils se trouvent non loin d’une grande forêt sauvage, et sont isolés des zones touristiques, donnant l’opportunité aux animaux comme aux visiteurs de profiter d’une Thaïlande rurale et typique.

Phang Nga Elephant Park

© Phang Nga Elephant Park

C’est en 2015 que cette famille ouvre le parc, pour partager leur quotidien et éduquer les visiteurs. Ils offrent plusieurs programmes pour que chaque expérience soit unique. Une fois sur place, vous serez mis de paire avec un éléphant, pour apprendre son histoire, vivre un bout de son quotidien avec lui, lui préparer à manger et même le nettoyer pour son bain. Le coût est un peu plus élevé, une centaine d’euros par adulte, car il permet aux villageois de prendre soin des éléphants et de maintenir un bon cadre de vie pour eux.

Following Giants, Koh Lanta

C’est dans un décor sauvage presque paradisiaque, sur l’île de Koh Lanta à l’Ouest de la Thaïlande, que vous découvrirez ce sanctuaire dévoué à la protection des éléphants. Avec l’aide de World Animal Protection, c’est en 2007 que Ray a lui aussi transitionné d’un camp de balade à dos d’éléphant en un centre éthique. 

Aujourd’hui, chez Following Giants, il n’y a aucune interaction entre les visiteurs et les animaux. La philosophie du sanctuaire est d’offrir une vie naturelle, loin du tourisme de masse, à ces bêtes d’instinct sauvage. Le principe est simple : suivre le quotidien de ces géants, en les laissant libres de se baigner, de se balader et de se nourrir quand et où ils le veulent. Au milieu d’une vieille forêt et le long de petits ruisseaux, marchez aux côtés des éléphants et de leurs cornacs, tout en découvrant leur vie rythmée par la douceur et l’amusement. 

Following Giants

© Following Giants

Vous aurez également l’occasion de participer à la reforestation du parc, grâce à une activité de fabrication et de lancé de boules de graines. Votre visite sera l’occasion parfaite pour sensibiliser les petits, comme les grands, sur les défis auxquels les éléphants sont confrontés. Grâce à Following Giants, devenez un acteur de leur protection. Comptez environ 70 euros par adulte pour la demi-journée.

Les parcs nationaux

Parmi les 7 000 éléphants que l’on retrouve en Thaïlande, la moitié, soit environ 3 500 individus, sont à l’état sauvage. Répartis entre les parcs nationaux et les réserves naturelles, ils n’ont aucun contact direct avec les humains.

Même si cela peut paraître difficile, observer les éléphants en totale liberté offre un spectacle de vie magique. Toujours en troupeau, vous verrez même des bébés s’amuser avec leur maman au bord de l’eau. 

Les pachydermes sont répartis un petit peu partout en Thaïlande, mais leur présence se concentre sur trois parcs nationaux :

  • Khao Sok,
  • Kuiburi,
  • Khao Yai.

Le parc national de Khao Sok

Situé dans la province de Surat Thani, à environ trois heures de route depuis Phuket, le parc national de Khao Sok est l'une des plus anciennes forêts tropicales du monde. Ce lieu magique regroupe le lac Cheow Lan, dont jaillissent des pics rocheux, le tout entouré de cette jungle dense abritant des centaines d'espèces animales et végétales locales.

Lors d’une balade en bateau longtail, vous aurez sûrement la chance d’observer des singes comme les langurs à lunettes ou les gibbons, mais aussi des oiseaux comme le calao. Il est également assez courant d’y voir des troupeaux d’éléphants sur les rives ! On compte environ 200 pachydermes sauvages dans le parc, ce qui en fait l’un des meilleurs endroits pour les rencontrer.

Notre petite astuce est de passer la nuit dans un bungalow sur l’eau. Il existe de nombreux hôtels flottants dans ce parc national, vous permettant de profiter pleinement de l’expérience et de la tranquillité offerte par la nature environnante. Avant la suite de votre voyage, profitez du lever du soleil pour observer la nature au réveil.

Bungalow flottant sur le lac Cheow Lan à Khao Sok

Le parc national de Kui Buri 

Cette réserve naturelle située dans la province de Prachuap Khiri Khan est facilement accessible depuis Hua Hin, en seulement une petite heure de route. On y trouve une forêt tropicale, des collines basses mais aussi une large savane, où cohabitent de nombreux animaux comme les cerfs, les sangliers, les bisons, mais aussi bien sûr les éléphants. Ce parc est le plus célèbre pour l’observation de ces derniers à l’état sauvage, puisqu’on y retrouve jusqu’à 300 individus.

Laissez-vous tenter par un safari en Jeep ou bien par une randonnée accompagné d’un guide aguerri. Ouvrez grands vos yeux et profitez de chaque instant avec ces géants dans leur habitat naturel. Cette connexion avec la faune et la flore vous offrira aussi l’opportunité d’observer différentes variétés de plantes tropicales ou d’oiseaux rares. Pour les amoureux de la nature, appréciez la zone de camping délimitée pour vivre l’expérience d’une immersion complète

Le parc national de Khao Yai

Couvrant une superficie de plus de 2 000 kilomètres carrés, ce sanctuaire naturel offre une biodiversité unique. C’est à environ deux heures de route de Bangkok, dans la province de Nakhon Ratchasima, que l’on retrouve le parc national de Khao Yai, l’un des plus anciens et des plus vastes de Thaïlande. On y recense jusqu’à 250 éléphants en liberté, ce qui en fait l’endroit parfait pour les observer.

Entre montagnes, jungle épaisse ou encore cascades, ce parc au décor unique est le foyer de nombreuses espèces animales. Cerfs, oiseaux, macaques ou encore papillons cohabitent dans ce large espace. 

Le parc de Khao Yai en Thaïlande

Pour les amoureux de marche, nous vous conseillons d’y faire une randonnée avec un guide. Il vous est également possible d’y faire un safari en voiture ou même une balade en bateau. Pour une immersion plus complète, n’hésitez pas à passer la nuit dans un éco-lodge non loin de là.

Protéger les éléphants : enjeux et actions clés

Depuis de nombreuses années, les éléphants font face à de nombreux défis qui mettent leur existence en péril. Mais il n’est pas trop tard pour agir. Quelques petits gestes accessibles à tous peuvent rendre la vie d’un pachyderme plus agréable.

L’impact humain

Chasseur-cueilleur, l’homme pourchasse les éléphants pour la beauté de leur ivoire depuis des siècles. Face à l’abus des pratiques de braconnage, des mesures internationales ont été prises pour interdire le commerce de l’ivoire. Ces avancées peuvent être synonyme de progrès, mais la menace persiste auprès de la population d’éléphants en Afrique, comme en Asie. 

Avec des interdictions souvent enfreintes, il existe aussi un commerce illégal de revente de jeunes éléphants. Ils sont généralement enfermés à vie dans des zoos ou des cirques. C’est le cas de certains sanctuaires non éthiques en Asie, où la cadre de vie n’est pas du tout adapté aux animaux. 

Par ailleurs, l’empreinte humaine sur la nature affecte l’environnement de ces géants. Entre déforestation et expansion des terres agricoles, les habitats respectifs des hommes et des éléphants entrent en contact, créant des conflits. Leurs ressources naturelles détruites, les pachydermes peuvent venir en zones habitées, pour boire et se nourrir. Humains comme animaux se sentent dominés, et réagissent souvent par une violence non nécessaire.

Une prise de conscience nationale

En plus d’être soucieux des avancées sociales, la Thaïlande cultive une relation unique avec cette espèce emblématique. L’éléphant est une vraie représentation culturelle et religieuse, et a même le titre d’animal sacré. Malgré ça, il est apprivoisé pour des travaux pénibles, et même considéré comme une attraction touristique. 

Bien que la cause manque de financement pour réaliser des missions de recherches ou de réhabilitation, une dynamique de protection est tout de même visible dans le pays. Les sanctuaires adoptent un chemin de plus en plus éthique, et appliquent une politique de sensibilisation, qui informe les touristes sur les bonnes pratiques à favoriser.

Un éléphant à l'état sauvage en Thaïlande

À l’échelle nationale, des lois en faveur de la protection des animaux sauvages ont été promulguées. Même si l’application de telles mesures est inégale sur le territoire, à  cause de la corruption ou du manque de formations, c’est une bonne avancée vers un futur plus respectueux de la faune. 

Votre contribution

En tant que voyageur, vous avez le pouvoir de soutenir cette cause. Ne participez pas aux balades à dos d'éléphants, mais faites plutôt du bénévolat ou des donations dans les sanctuaires. Au-delà du fait que les animaux soient maltraités pour supporter ce type d'attraction, avec l'utilisation de crochets notamment, il est crucial de comprendre que les pachydermes ne peuvent pas supporter un poids supérieur à 150 kilos sur leur dos. La nacelle utilisée pour transporter les touristes pèse 100 kilos à elle seule. Avec 2 à 4 personnes supplémentaires, l’éléphant subit donc des dommages irréparables. 

Restez informé est la priorité. Continuez de lire des articles sur le sujet, supportez le tourisme vert et responsable en faveur du bien-être animal, et optez pour des visites dans des sanctuaires reconnues. 

Vous pouvez désormais partir à la découverte des éléphants avec un choix de lieux et de bonnes pratiques à adopter. Chez ÔDASIE, nous considérons le bien-être animal comme l’une de nos priorités, et espérons vous avoir éclairé sur ce sujet important.

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